Actualité

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Un webinaire organisé par l’Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale (OMPIC) en partenariat avec l’OAPI et l’Association Marocaine des Exportateurs (ASMEX), s’est tenu le 21 juillet dernier, sur le thème « Comment protéger vos marques en Afrique ?».
Cet échange entre les représentants des différentes structures a eu pour objectif de discuter des avantages qu’offrent les systèmes de protection de l’OAPI, de l’OMPIC et le système international sur les actifs immatériels notamment les marques de produit ou de services, pour les entreprises et entrepreneurs dans le marché africain. Les acquis de l’ASMEX dans le cadre de sa mission d’accompagnement des entreprises marocaines pour la promotion à l’international du « made in Morocco », ont également été présentés.
Mme Jacqueline Taylord HELIANG, chef du service des marques à l’OAPI, a présenté les avantages du système OAPI en termes de législation, de territorialité, de procédure, de tarification et de publication, qui s’alignent aux standards des plus grands offices de propriété intellectuelle dans le monde.
Cette réunion virtuelle a permis le partage d’expertises de ces deux offices de propriété intellectuelle et du spécialiste de l’export au Maroc (ASMEX), pour favoriser le commerce international, la fidélisation de clients pour les titulaires de marques, la sécurisation dans les circuits d’export et la promotion des marques marocaines en Afrique.

 

Du 02 à ce vendredi 04 août 2023, Bangui a accueilli l’atelier national de sensibilisation et de formation des acteurs et des Institutions sur la démarche d’Indications géographiques et de Marques collectives.
Organisé par l’OAPI en partenariat avec la République Centrafricaine, cet atelier a pour objectif de renforcer les politiques publiques de soutien aux produits locaux dans la conquête du marché régional et international, à travers la maîtrise des concepts, des exigences techniques et professionnelles associés à l’IG et aux Marques collectives.
La reconnaissance officielle des IG est un enjeu de développement important pour les Etats membres de l’OAPI tant sur le plan économique que juridique. C’est en ce sens que « le Ministère du Commerce et de l’Industrie de RCA soutien cette activité pour l’accompagnement des filières constituées autour des produits tels que le Café de Lotémo, le Miel de Votovo, les Sculptures de Mbéko-Sabé, le cuir de Bambari, l’igname de Bouar, le Ngouli de Bangassou déjà répertoriés à l’OAPI et qui sont en plein essor. C’est sur ces éléments moteurs, que Madame la Ministre du Commerce et de l’Industrie - Administrateur de l’OAPI pour la RCA, a ouvert officiellement les travaux.

Lancée le 31 juillet 2023 à Bata, la première session de formations des institutions et des producteurs de Guinée équatoriale, concernés par la valorisation des produits du terroir en indication géographique. Cette série d’activités a été ouverte par le président du Conseil de la Recherche Scientifique et Technique (CICTE)- Administrateur de l’OAPI pour la Guinée Equatoriale, aux côtés duquel se tenaient le ministre de la Pêche et des Ressources Hydrauliques, l’OAPI et le représentant du ministre de l’Agriculture.
L’objectif de ces travaux est d’outiller les acteurs locaux à la mise en place et au fonctionnement efficient d’un comité national en charge des indications géographiques (IG) en République de Guinée Equatoriale. Ce comité est un maillon essentiel du processus de protection, de reconnaissance, et de promotion des Indications géographiques dans les Etats membres de l’OAPI.
La première phase de l’atelier s’est achevé ce mardi 01er août. La seconde se poursuivra les 04 et 05 août prochains à Malabo.

Du 17 au 20 juillet 2023, la Commission Supérieure de Recours (CSR) de l’OAPI a siégé pour examiner les recours en annulation des décisions du Directeur Général inscrits au rôle donc, quatorze (14) oppositions à l’enregistrement de marques, une (01) opposition à l’enregistrement d’un nom commercial et une revendication de propriété d’une marque.
Les décisions ont été rendues pour quatorze d’entre eux et deux affaires ont été renvoyées à la prochaine session à la demande des recourants.
La Commission Supérieure de Recours, composée de trois magistrats, est compétente pour connaître des recours formés contre les décisions du Directeur Général concernant le rejet de demandes de titre de propriété industrielle, les décisions sur les oppositions à l’enregistrement ou à la délivrance des titres de propriété industrielle, les décisions sur la revendication de propriété des titres délivrés ou des demandes de titres, les rejets de demande de restauration et d’inscription au registre spécial.

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